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Le grand meaulnes

10 mars 2006

La maison rouge (2)

la_maison_rouge__2_Cette photo représente la maison de la famille fournier et dans le roman, celle de la famille Seurel. Elle sert également d’école dans le roman mais aussi dans la réalité, à l’intérieur, il y a deux classes : celle de  M. Fournier, celle de Madame Fournier. On distingue aussi mansarde et les greniers. Dans ce livre, Alain Fournier dit que c’est : « Une longue maison rouge , avec cinq portes vitrées ,sous des vignes, à l’extrémité du bourg ;une cour immense avec préaux et buanderie, qui ouvrait en avant sur le village par un grand portail ;sur le coté nord, la route où donnait une petite grille et qui menait vers la gare ,à trois kilomètres ; au sud et par derrière , des champs, des jardins et des près qui rejoignaient les Faubourgs… tel est le plan sommaire de cette demeure où s’écoulèrent les jours les plus tourmentes et les plus chers de ma vie demeure d’où partirent et où revinrent se briser ,comme des vagues sus un rocher désert nos aventure… »
Cette maison m’a paru belle, extraordinaire. Il  faisait très froid à l’intérieur. Je l’imaginais un peu comme cela mais plus grande, je crois. (Camille C.)

   Voici la très belle maison rouge en pierre recouverte de vigne, où la famille de François habitait. Cette maison est constituée de deux salles de classe, de la mairie ainsi que de l’appartement. A l’extérieur dans la grande cours, on voit un préau, un puits et les toilettes.

Dans le livre, François décrit cette maison en disant que « c’est une longue maison rouge, avec cinq portes vitrées, sous des vignes vierges , à l’extrémité du bourg, une cour immense avec un préau et buanderie, qui ouvrait en avant sur le village par un portail »

J’ai trouvé impressionnant de voir en réalité la maison que François a décrit dans le livre. (Elsa)

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10 mars 2006

La salle à manger

La salle à manger était une pièce où toute la famille parlait, pensait … Il y avait beaucoup de photos de la_salle___mangerfamille, des parents de M. Et Mme Seurel. La cheminée était très bien située puisque la chaleur venait sur eux. On y retrouve aussi l’armoire à vaisselle.

Je trouve que cette pièce n’est pas très agréable parce qu’elle est très sombre. Il n’y a qu’une fenêtre mais cela reste très juste ; même en jour d’été, elle est sombre.

« On eu dit deux équipages se suivant lentement au très petit trot. Cela ralentit le pas et finalement vint s’arrêter sous la fenêtre de la salle à manger. » (Damien)

10 mars 2006

La maison du notaire

la_maison_du_notaireLa maison est immense, on dirait un château. Elle comporte trois étages, un très grand portail qui a servi à faire le portail du domaine mystérieux. Elle a, aussi comme la maison de François une belle vigne vierge. Des fenêtres assez grandes, pour faire entrer la lumière. Le notaire vivait dans cette maison. Elle a servi à faire le tournage d’une partie du domaine mystérieux. Je trouve cette maison très belle et très grande même un peu trop pour une seul personne. J’aime ce style d’architecture, elle ressemble a un petit château fort, avec sa tour.  (Dorian)

9 mars 2006

La caserne des pompiers

            la_caserne

La caserne est une bâtisse plutôt petite. Elle est faite en pierre et le toit est en tuiles rouges. Elle est située près de l’église du village. Dans le temps d’Alain Fournier, on y rangeait à l’intérieur une charrette qui servait pour les interventions des pompiers.

« Ils traversèrent la rue de l’église où tout était endormit et silencieux et s’engagèrent derrière le cimetière dans un dédale de petites ruelles et d’impasses. »

Pour un village comme Epineuil, une caserne de pompiers comme cela suffisait pour tous les habitants. (Morgane)

9 mars 2006

La cuisine et son escalier

la_cuisine_et_l_escalierVoici en photo, la cuisine avec l’escalier qui mène à l’étage. Cette pièce est très petite et très sombre, seulement éclairée par une bougie. A cause de la fumée de la vieille cuisinière, les murs sont noirs. Pour accéder à cette pièce, il y a quatre portes dont une en haut de l’escalier, donc il fait souvent froid car l’air passe entre les portes et monsieur Fournier disait qu’il ne voulait pas trop chauffer cette pièce car il n’y était pas toute la journée.

Dans le livre, François est dans cette pièce avec sa mère, il raconte : « ma mère avait commencé de préparer le repas. Je montais trois marches de l’escalier du grenier, je m’asseyais sans rien dire et, la tête appuyée aux barreaux froids de la rampe, je la regardais allumer son feu dans l’étroite cuisine ou vacillait la flamme d’une bougie »

Cette visite m’a plu, voir tout ce que décrivait François dans le livre, surtout la cuisine qui ne devait pas être agréable. (Camille B.)

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9 mars 2006

Le plumier

     Après avoir visité la cour de l’école, l’entrée et la classe des petits, nous entrâmes dans la classe des grands et nous vîmes sur une table de taille modeste un vieux plumier à moitié ouvert qui servait à ranger les plumes utilisées très souvent par les élèves de l’école du père d’Henry-Alban Fournier.

Les plumes étaient utilisées avec de l’encre que le professeur leur versait dans un petit pot à mesure que le niveau d’encre diminuait. (Marion)

le_plumier2Les plumiers étaient fabriqués en bois. L’ ouverture était «  glissante » et le plumier était composé de plusieurs compartiments. Les élèves y rangeaient leurs plumes et leurs crayons, ce qui a donné son nom à l’objet. Le plumier était généralement accompagné d’un encrier, il fait donc partie des objets indispensables aux élèves. Les plumiers devaient, je pense, être « personnalisés » par les élèves avec l’inscription de leur nom et prénom ou de dessins.
« Puis ce fut un plumier chinois remplit de compas et d’instruments amusants qui s’en allèrent par le banc de gauche, glissant silencieusement, sournoisement, de main en main, sous les cahiers, pour que Monsieur Seurel ne pût rien voir. » (Alexandre)

9 mars 2006

La maison verte

la_maison_d_augustinLa maison d’Augustin
Sur cette photo on voit que la maison est recouverte de vignes. On voit six fenêtres dont la petite porte de la mairie, et deux petites fenêtres qui appartiennent au grenier. Il y a une assez grande cour devant la maison ; où il y a une sorte de puits.
« Une longue maison rouge avec cinq portes vitrées sous des vignes vierges, à l’extrémité du bourg une cour immense avec préau et buanderie, qui ouvrait en avant sur le village par un grand portail ; Sur le côtés de la route où donnait une petite grille et qui menait vers la gare, à 3 km ; Au sud et par derrière, des champs, des jardins et des près qui rejoignaient les faubourg… tel est le plan sommaire de cette demeure où s’écoulèrent les jours les plus chers de ma vie. Demeure d’où partir et où revinrent se briser, comme des vagues sur un rocher désert , nos aventures »

Le fait d’avoir vu cette maison m’a fait plaisir car quand il en parlait dans le livre cela ne m’évoquait rien de spécial. Mais quand on est à l’intérieur, ce n’est pas pareil dans cette maison : il y a deux salles de classe ( normal et supérieur), il y a la mairie (là ou les élèves rentraient dans la maison), il y avaient aussi la cuisine à cotés des escaliers qui menaient au grenier ainsi que la chambre de François. (Mélanie)

9 mars 2006

La morale

la_moraleChaque matin, monsieur Seurel écrivait sur le grand tableau du milieu, une morale généralement écrite par Platon (philosophe grec).

Voici un exemple de morale tiré du Mardi 13 mars 1893 : « La volonté est la faculté de se déterminer librement » Cette morale décrit l’autonomie du choix. Dès que les élèves entraient en classe, ils devaient la lire, et pendant un quart d’heure le professeur leur donnait un « cours » en rapport avec la morale du jour. Cela permettait aux élèves de les appliquer dans la vie de tous les jours.

En entrant dans la classe, la morale nous « surpris » car de nos jours les professeurs ne s’occupent plus de l’éducation des élèves. Je trouve personnellement, l’idée de mettre chaque jour une morale différente très intéressante et enrichissante pour les élèves. (Nayana)

            Chaque matin, avant de faire la classe, M. Seurel écrit une morale au tableau, M. Seurel la lit à voie haute. Ce tableau est situé dans la classe du cour moyen. L’écriture utilisée sur le tableau en ardoise est très appliquée. On voit sur la photo des outils de géométrie en  bois comme une règle et une équerre.

            M. Seurel utilise aussi la règle en bois pour faire régner le silence. « M. Seurel qui depuis un instant marchait de long en large pensivement, s’arrêta, frappa un grand coup de règle sur la table, pour faire cesser le bourdonnement confus des fins de classe où l’on s’ennuie, et, dans le silence attentif … »

            « M. Seurel, en copiant ses problèmes au tableau pense à l’autre chose. Il se retourne de temps à autre en regardant tout le monde d’un air à la fois sévère et absent. » (François)

9 mars 2006

Le grenier

le_grenierLe grenier aux étoiles 

Cette photo représente l’un des greniers de la maison Fournier visité(e) par la classe des 3°2, avec en exposition des brouillons du « Grand Meaulnes » écrits par Alain Fournier. Nous pouvons voir le Grand Meaulnes en toutes langues, ainsi que des photos d’Alain Fournier de son plus jeune âge au lycée et des photos de sa famille.

« Et si j’essaie d’imaginer la première nuit que je dus passer dans ma mansarde, au milieu des greniers du premier étage, déjà ce sont d’autres nuits que je me rappelle ; je ne suis plus seul dans cette chambre ; une grande ombre inquiète et une amie passe le long des murs et se promène ». Voilà une citation du livre « le Grand Meaulnes » qui explique que « François » a peur du grenier, car il croit voir un fantôme alors que c’est un drap.

Cette pièce était très intéressante car on y a découvert Alain Fournier à plusieurs période de sa vie ainsi que la façon dont il a raisonné pour l’écriture du « Grand Meaulnes » grâce à ses brouillons.

Toutes les éditions étrangères montrent aussi le succès de ce roman. (Sophie)

9 mars 2006

La cuisine et son potager

Cette pièce est la cuisine. C’est l’endroit où la mère de François, Millie, faisait tous les soirs le dîner. la_cuisine_et_son_potager1C’est dans cette fameuse pièce que se trouvait l’escalier qui menait à la chambre de François et aux greniers. « Ma mère avait commencé le repas, je montais trois marches de l’escalier, je m’asseyais la tête appuyée aux barreaux et je la regardais allumer son feu dans l’étroite cuisine où vacillait la flamme d’une bougie » disait François. Effectivement, tous les soirs, lorsque François rentrait de la mairie enfermé dans le cabinet des archives où il aimait tant lire les prix que les élèves recevraient en fin d’année; il allait s’asseoir sur la troisième marche de l’escalier et regardait sa mère qui cuisinait. Comme on le voit sur cette photo, il y avait une cuisinière avec quelques poêles et casseroles. Lorsque je suis rentrée dans cette pièce, je l’ai trouvée merveilleuse. Elle était assez modeste mais c’est ce qui faisait son charme. (Sophia)

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